Bones of Crows (dans les coulisses)
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Le personnage principal Aline Spears (à gauche) et sa mère marchant dans les prairies dans le film Bones of Crows.
Le film Bones of Crows, qui raconte l'histoire d'une fratrie plongée dans une lutte pour la survie après avoir été placée de force dans un pensionnat, a été tourné en Colombie-Britannique, notamment sur le site de l'ancien pensionnat de Kamloops, sur le territoire des Tk'emlúps. Les nombreux acteurs et membres autochtones de l'équipe de tournage ont joué un rôle essentiel dans la production et le succès de ce film épique.
Pour en savoir plus sur le film, consultez le site www.bonesofcrows.com (non disponible en français).
![L'équipe de tournage sur le plateau utilise le matériel de prise de vue et d'éclairage.](/DAM/DAM-CIRNAC-RCAANC/DAM-RECN/STAGING/images-images/lived_experiences_boc-g1-tn_1687963955689_fra.jpg)
La production de Bones of Crows a débuté en 2021 avec plus de 60 acteurs représentant cinq générations d'artistes autochtones et plus de 50 membres autochtones de l'équipe de tournage travaillant en coulisses.
Crédit photo : Farah Nosh pour Elevation Pictures
![Marie Clements debout devant un fond blanc.](/DAM/DAM-CIRNAC-RCAANC/DAM-RECN/STAGING/images-images/lived_experiences_boc-g2-tn_1687964018142_fra.jpg)
« C'est un film qui n'arrive qu'une fois dans une vie. Ce n'est pas quelque chose qui aurait pu se produire il y a cinq ans, mais nous avons aussi compris la responsabilité. »
Marie Clements, scénariste, réalisatrice et productrice métisse/dénée primée
Crédit photo : Farah Nosh pour Elevation Pictures
![Elizabeth McLeod à côté des membres de la distribution Gail Maurice (assise), Carla-Rae (debout).](/DAM/DAM-CIRNAC-RCAANC/DAM-RECN/STAGING/images-images/lived_experiences_boc-g5-tn_1687964273550_fra.jpg)
« Ce film restera à jamais l'un des moments dont je suis le plus fière. Le fait de pouvoir mettre en lumière ce que mes ancêtres et ma famille ont vécu est l'une des choses les plus importantes que j'ai eu la chance de faire. Je ne remercierai jamais assez les producteurs qui ont cru en moi et m'ont fait participer à ce projet. Avec mon mentor, Darci Jackson, ce projet a ouvert la voie à d'autres occasions cinématographiques que je n'aurais peut-être pas eues sans ce film. J'espère que ce film ouvrira les yeux des gens qui n'étaient pas au courant de notre histoire et qu'il leur fera comprendre qu'elle est toujours d'actualité. »
Elizabeth McLeod (cheveux bleus), maquilleuse
Crédit photo : Elizabeth McLeod
![Acteurs et membres de l'équipe de tournage participant à un cercle de tambours dans un champ.](/DAM/DAM-CIRNAC-RCAANC/DAM-RECN/STAGING/images-images/lived_experiences_boc-g6-tn_1687964342935_fra.jpg)
Bones of Crows est la première production autochtone et dirigée par des femmes sur l'expérience des pensionnats en Amérique du Nord.
Crédit photo : Farah Nosh pour Elevation Pictures
![L'actrice Grace Doyle, dans le rôle d'Aline Spears, debout dans un champ.](/DAM/DAM-CIRNAC-RCAANC/DAM-RECN/STAGING/images-images/lived_experiences_boc-g7-tn_1687964405774_fra.jpg)
« En tant qu'actrice, c'était un rêve [de travailler au tournage de ce film], mais en tant qu'être humain, cela a été très dur et j'ai dû prendre des mois pour me rétablir et me guérir. Mais le film traite de la [douleur] que nous avons ressentie en tant qu'Autochtones, alors j'ai fait mon devoir. »
Grace Doyle, qui interprète Aline Spears
Crédit photo : Farah Nosh pour Elevation Pictures
![Charlene Dunn coiffe les cheveux d'un membre de la troupe.](/DAM/DAM-CIRNAC-RCAANC/DAM-RECN/STAGING/images-images/lived_experiences_boc-g8-tn_1687964464944_fra.jpg)
« C'est un honneur de travailler à cette production. Marie Clements [est] raconte de façon incroyable un récit sur les survivants des pensionnats. Un récit épique sur la résilience des Autochtones… En travaillant à ce film, j'ai parfois dû m'éloigner du plateau pour retrouver mes repères. Le contenu était incroyablement émouvant. La force des femmes autochtones à la fin du film était puissante. Je suis fière d'être une femme autochtone et je suis reconnaissante que mon travail soit mis en valeur pour les générations à venir. Que la guérison commence. Hiy Hiy. »
Charlene Dunn, coiffeuse
Crédit photo : Charlene Dunn