Cérémonie de dévoilement du vitrail - Chansons de fermeture

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Transcription : Chansons de fermeture

Greg Rickford : En éteignant le qulliq, nous mettons fin à la cérémonie. Avant de nous rendre à la salle de réception, nous allons écouter quelques chansons interprétées par le choeur des enfants inuits d'Ottawa. S'il vous plaît, applaudissons la chorale. Thank you, merci, Miigwetch.

Linda : Bonjour, je m'appelle Linda. J'ai ici à mes côtés des enfants extraordinaires qui fréquentent le Ottawa Inuit Children Centre. Ils sont très fiers de montrer qu'ils ont beaucoup appris sur leur culture et leur langue. Ils vont chanter une chanson écrite par une aînée dans la langue « pinger ». Le titre est « Tukalikita ». Vous êtes prêts?

(Le choeur des enfants inuits d'Ottawa)

Linda : (En langue autochtone) Nous allons maintenant vous montrer un chant guttural. Allons-y?

(Le choeur des enfants inuits d'Ottawa)

Linda : Je vous présente maintenant des adolescentes qui fréquentent notre Centre : Charlotte, Abby et Anika.

Charlotte : (En langue autochtone) Bonjour. Au nom de mes deux jeunes soeurs, Abigail et Anika, et en mon nom propre, je veux dire que je suis très honorée d'être ici ce matin. Ce que vous allez entendre ce matin découle des excuses.

(Chant guttural)

Charlotte : En tant que jeune femme inuk qui a grandi en ville, j'ai senti la douleur et les répercussions des pensionnats indiens. Même si en grandissant à notre époque, je n'ai pas été touchée directement par les pensionnats indiens, mon peuple et mes ancêtres ont été touchés. On peut choisir de repenser aux pensionnats indiens et d'en tirer des leçons, on peut réfléchir à ce qui s'est passé et savoir que cela ne se reproduira plus jamais.

(Chant guttural)

Anika : Les pensionnats indiens n'ont eu aucune incidence directe sur ma vie ni sur celle de ma soeur, mais le frère aîné et la soeur cadette de ma mère y ont été envoyés dès leur plus jeune âge. Nous possédons cependant cette incroyable capacité de réfléchir au passé, de pardonner et d'aller de l'avant.

Anika : Je suis fière d'être Inuk, je suis fière de qui je suis, de mes nombreux rêves, objectifs et possibilités. Certaines personnes croient que notre peuple est vieux, mais nous sommes ici aujourd'hui pour célébrer notre culture.

Charlotte, Anika and Abigail : Qui est toujous bien vivante.

Anika : (En langue autochtone) Merci.

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